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Voir toutes les ventesC’est à Jean Jacques Rousseau et Albert Cohen que je dois mon attachement tout particulier à Genève. A Sissi aussi. Les amours impossibles de La Nouvelle Héloïse et la passion dévorante de Belle du Seigneur ont nourri mes lectures et ma curiosité pour cette ville, théâtre de ces frasques romanesques. Je marchais sur les pas de Julie et Saint Preux sur les bords du Lac, j’arpentais les couloirs fastueux du Palais des Nations (anciennement la S.D.N.) foulés par Ariane et Solal, je traversais le pont du Mont Blanc, dans l’ombre de l’assassinat de Sissi. Je visitais la demeure Rousseau, passais sous les fenêtres du nº7 de l’Avenue Krieg, où aucune plaque commémorative ne mentionne qu’Albert Cohen a longtemps vécu ici. En revivant la Genève de la littérature, j’appréhendais la Genève moderne, berceau des idées fortes qui ont modelé la face du monde. Genève partage son lac avec la France et se partage aussi avec le monde entier.
Les visiteurs en quête de tranquillité et les célébrités ne s’y retrouvent pas par hasard. On y vient et revient pour son cadre de vie, son paysage entre lacs et montagnes, ses espaces verts, sa facette multiculturelle et son luxe incomparable. A l’instar des destinations star, Genève est la quintessence du prestige. Comme en témoigne l’hôtel Warwick, le pied à terre idéal pour une escapade dans la cité Suisse, en plein centre de Genève, à proximité de la gare centrale, à quelques minutes de l’aéroport et à quelques pas du centre historique.
En pénétrant dans le hall, clinquant, c’est tout le faste des hôtels d’époque qui nous accueille. Marbre, dorures, lustres, escalier majestueux… le ton est donné. Nous sommes dans un établissement grand genre où la notion de service est reine. La Suisse est réputée pour son excellence sans faille, le Warwick ne déroge pas à la règle et sublime l’art de recevoir, en toute discrétion. Si l’hôtel a conservé son charme suranné, les chambres et suites ont toutes été rénovées récemment, pour offrir à ses hôtes exigeants ce que l’on est en droit d’attendre d’une adresse quatre étoiles. Elles dégagent une atmosphère contemporaine douce, chaleureuse et harmonieuse aux couleurs incitant à la détente : miel du bois de sycomore, tissus vert amande et gris électrique. On s’y prélasse en fin de journée, ou en début de matinée puisqu'à votre demande le petit déjeuner continental ou américain vous est y servi sur un plateau d’argent. Une élégante manière de commencer la journée avant de visiter la prestigieuse Genève.
En sortant de l’hôtel, j’empreinte la Rue des Alpes, remonte les Quais du Mont Blanc pour atteindre la Jetée des Pâquis, la « plage » de Genève où tous se retrouvent pour un bain, un sauna, un verre ou une fondue. De là, on bénéficie de la meilleure vue sur le jet d’eau emblématique de la Rade de Genève qui propulse ses eaux à 140 mètres de hauteur. Direction ensuite l’autre rive du Lac. Les amateurs de shopping ne rateront pas la prestigieuse rue du Rhône, quant à moi, j’ai craqué pour les quartiers plus BoBo des Bains et de Carouge. Le premier, arty, est un véritable laboratoire d’art contemporain, avec comme point d’orgue le MAMCO, le musée d’art moderne et contemporain. Le second, entre ambiance Greenwich Village et dolce vita à l’italienne, regorge de petites boutiques et galeries à l’architecture qui rappelle ses origines sardes.
Fourbue, mais des images plein la tête, je regagne mon hôtel et ma chambre cosy, m’endormant en songeant aux mots de Hermann Hesse « les images s’effacent, les symboles demeurent » et comme le dit Kofi Annan « Genève est bien plus qu'un lieu: c'est un symbole», celui de la paix, de la tolérance et des hôtels de prestige.
* Offre Spéciale Saint-Valentin : Menu 4 plats servis lors du dîner le soir du 14 février 2014 :
HOTEL WARWICK GENEVE
14 Rue de Lausanne
1201
Genève
Suisse
Du lundi au vendredi de 9h00 à 20h00 et les samedis, dimanches et jours fériés de 9h00 à 18h00.
Prix de l'appel : prix appel local